Et si je rêvais d’un livre qui n’existe pas. L’œuvre de Koichi Kurita me parle énormément, ces petits carrés éphémères de terres de tous les continents posés à même le sol me donnent aussi un peu le vertige. C’est grâce au très beau et très complet billet de Furoshiki que je le connais. Des couleurs mais aussi un certain nomadisme, une idée d’être artiste partout mais aussi une certaine philosophie de vie avec la reprise des éléments principaux (air, eau, terre, feu et vide).
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Et regarder la terre différemment, la toucher, la humer, me parait être un programme alléchant, pour ouvrir le panel des nuances chromatiques et pour regarder mieux ce sol qui nous porte. Je ne peux que reprendre la traduction de Furoshiki sur le livre jeunesse qui n’est pas traduit en français donc inexistant :
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« Colors of soil in Japan » de Koichi Kurita
« De quelle couleur est la terre, à ton avis ? Noire ? Marron ? Fais davantage attention à l’endroit qui te porte, où tu te tiens debout. Tu seras surpris de découvrir que la terre a plein de couleurs différentes. Ouvre ce livre et ce livre ouvrira tes yeux aux multiples couleurs de la terre. Lis-le et puis, regarde autour de toi. Prends plaisir à découvrir les couleurs des terres dans le livre et dans la nature. Tu vois, elles ne sont pas seulement brunes, mais jaunes, grises, roses et même blanches ! »
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