Pour certains ces peluches sont de mauvais goût, glauques ou ridicules. Et bien au contraire, je suis plutôt favorable. J’ai dans l’idée que trouver une manière tactile d’appréhender le monde permet aux enfants de se faire leur propre connaissance de ce que nous ne touchons pas : les organes et les maladies.
*source peluche organes de I love guts
Alors oui, j’aurais été partante pour adopter un cœur, un poumon (voir tous) pour plusieurs raisons : trouver encore un moyen de prendre conscience des organes internes que nous ne pouvons pas toucher, de, pourquoi pas, redétailler avec mon fils quel est le rôle de cet organe (devenu visuel, tactile, volumineux à part entière), comprendre son importance dans le fonctionnement du corps et la vie. Ce serait une manière de poursuivre la visite du corps humain que j’aimerais faire avec d’autres supports comme je vous le disais là. Et puis pourquoi ne pas envisager permettre à un enfant de visualiser son mal, les palpitations, les poumons faibles (sans parler des maladies chroniques ou les attentes de dons d’organes).
*source peluche santé de Giant microbes
Les peluches maladies sont alors aussi les bienvenues. Moins passionnantes à mon goût que ces Moyashimon (bactéries et ferments), elles apporteraient tout de même leur lot de repère pour aller encore plus avant : la grippe, le mal d’oreilles etc… Il parait que, même si elles ne ressemblent pas toutes à grand-chose, elles sont accompagnées d’un explicatif. J’imagine assez mon enfant au lit, cloué par un mal de ventre, avec dans les bras la cause de son mal. C’est vrai que si la maladie est plus importante, le côté didactique est peut-être lissé par une sorte de mauvais goût.
*source peluche organes de I love guts
Alors oui, j’aurais été partante pour adopter un cœur, un poumon (voir tous) pour plusieurs raisons : trouver encore un moyen de prendre conscience des organes internes que nous ne pouvons pas toucher, de, pourquoi pas, redétailler avec mon fils quel est le rôle de cet organe (devenu visuel, tactile, volumineux à part entière), comprendre son importance dans le fonctionnement du corps et la vie. Ce serait une manière de poursuivre la visite du corps humain que j’aimerais faire avec d’autres supports comme je vous le disais là. Et puis pourquoi ne pas envisager permettre à un enfant de visualiser son mal, les palpitations, les poumons faibles (sans parler des maladies chroniques ou les attentes de dons d’organes).
*source peluche santé de Giant microbes
Les peluches maladies sont alors aussi les bienvenues. Moins passionnantes à mon goût que ces Moyashimon (bactéries et ferments), elles apporteraient tout de même leur lot de repère pour aller encore plus avant : la grippe, le mal d’oreilles etc… Il parait que, même si elles ne ressemblent pas toutes à grand-chose, elles sont accompagnées d’un explicatif. J’imagine assez mon enfant au lit, cloué par un mal de ventre, avec dans les bras la cause de son mal. C’est vrai que si la maladie est plus importante, le côté didactique est peut-être lissé par une sorte de mauvais goût.
4 commentaires:
Tu m'étonneras toujours! Je ne connaissais pas du tout ces petites affaires...
Je crains de faire partie de la première sorte de personnes dont tu décris la réaction dans ton billet.. c'est amusant, même si jamais je n'offrirais un de ces trucs à un enfant!
Francine: tu vois où mon cerveau "dérangé" m'entraine ;))
Marraine: oh non pas toi... et tes squelettes, trophées de chasse etc...
je trouve l'idée intéressante et originale!
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