J'ai en mémoire des souvenirs peu glorieux de mes cours pratiques de dissections. J'aurais préféré, comme l'a fait mon père vers ses 10 ans, manger un lapin et faire bouillir tous les os et les blanchir avec un peu d'eau de javel, avant de reconstruire le squelette en entier.
Maintenant, j'aime aussi cette version, dissection d'animaux en tricot, qui rappelle beaucoup l'impalpable corps humain, organes ou système digestif. De quoi ne plus avoir peur de faire du mal à une souris, une grenouille, un cochon ou même au lapin.
*source dissection animale Emily Stoneking via La Victorienne (blog à suivre)
Mais juste pour le souvenir de cet enfant curieux et déterminé qu'était mon père avant ses études de médecine, le squelette du lapin. Je l'imagine essuyant un à un les os, les réassociant avec son livre de biologie sous la main, un tube de colle pas loin... une 20aines d'os dénommés pour combien de petits morceaux. *source squelette du lapin
3 commentaires:
Mais où vas-tu dénicher tout cela, c'est superbe! Je garde moi aussi des souvenirs cauchemardesques des séances de dissection!
Tous ces petits os... c'est pour ça que je n'aime pas manger du lapin, il y en a toujours trop!
Ces "tricots de dissection sont tout simplement géniaux, j'adore :))
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