Je reprends mes expériences en cuisine avec huiles essentielles.
Mais malheureusement, le doigté doit être précis et ma tablée est plutôt réfractaire: un homme allergique au pollen et très sensible au cru et aux plantes sauvages (ou fleurs comestibles), un loupiot trop jeune pour avoir la chance de se faire une idée de cette rétro-olfaction encore plus pure (certaines recommandations préconisent d'attendre les 7 ans avant d'en proposer).
Mais malheureusement, le doigté doit être précis et ma tablée est plutôt réfractaire: un homme allergique au pollen et très sensible au cru et aux plantes sauvages (ou fleurs comestibles), un loupiot trop jeune pour avoir la chance de se faire une idée de cette rétro-olfaction encore plus pure (certaines recommandations préconisent d'attendre les 7 ans avant d'en proposer).
*source alambic avec explication de l'hydrolat
Alors je serais tentée de succomber au charme des hydrolats. Bien-sûr biologiques et distillés pour l'alimentaire. Des hydrolats, moins concentrés que les huiles essentielles (ou essences), plus doux et abordables pour les débutants. Je prendrais une bouteille à la fois, le mode de conservation (et surtout le délai de péremption étant beaucoup, beaucoup plus court).
Je prendrais alors les hydrolats (et huiles essentielles) de Côté cuisine (distillation de Gérard PERROT) et des huiles essentielles de Cuisine et Sens.
Je prendrais alors les hydrolats (et huiles essentielles) de Côté cuisine (distillation de Gérard PERROT) et des huiles essentielles de Cuisine et Sens.
Avant peut-être de les faire maison...
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